Le gouvernement français évoque désormais l'hypothèse du «pire des scénarios», celui d'un «impact supérieur à Tchernobyl», après l'accident nucléaire survenu à la centrale de Fukushima au Japon.
Le président Nicolas Sarkozy a souligné le devoir de «totale transparence» tout en se disant convaincu de la «pertinence» des choix énergétiques de la France.
Les autorités françaises ont «un devoir de totale transparence», a déclaré le chef de l'État à l'occasion du conseil des ministres, consacré pour une large part à la situation au Japon.
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