Pour rendre les choses plus compliquées, ce ne sont pas tout à fait des gènes, mais des séquences d'ADN qui résident entre les gènes et agissent comme des interrupteurs, activant celui-ci et désactivant celui-là.
Une équipe californienne a par exemple démontré qu'une de ces «pertes» a conduit nos ancêtres à perdre une partie de leur pilosité faciale, tout en gagnant des cellules dans le cerveau.
L'ensemble du mécanisme est loin d'être clair, mais des comparaisons avec des chimpanzés, des poulets et des souris, ont permis d'identifier jusqu'ici 510 cas où une séquence génétique conservée chez tous ces animaux est disparue chez nous. D'après New Scientist
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire