«La précondition (pour la sortie de crise), c'est qu'il quitte le pays» a ainsi assuré le chef de la diplomatie italienne Franco Frattini, estimant toutefois qu'aucun pays - africains compris - ne lui avait offert à ce stade l'exil, pas forcément synonyme «d'immunité».
Son homologue britannique William Hague a lâché que Londres n'était pas en train de chercher un pays d'accueil pour le colonel Mouammar Kadhafi, confronté à une rébellion sans précédent. Mais pour ajouter: «cela n'exclut pas que d'autres pays le fassent.»
«C'est aux Libyens de s'en débarrasser», s'est borné à dire le ministre français des Affaires étrangères Alain Juppé.
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